Alexandra Kazan au “Doobie’s”, un restaurant du huitième arrondissement (rue Robert-Estienne) à Paris, où elle a débuté une série de concerts donnés tous les mardi, mercredi et jeudi de juin 97 alors que, fan de toujours de jazz américain, elle prépare un album où elle interprètera compositions originales et reprises avant de remonter, un été presque passé à chanter, sur les planches dès la rentrée. La comédienne, d’origine américano-monégasque au nom à consonance très slave, s’est entourée pour l’occasion des musiciens de “Doc Gynéco”, le MC Solaar du soft-érotico-pop-rap.