VERSOLATO DÉSHABILLE PLUS QU’IL N’HABILLE
LES COLLECTIONS PRINTEMPS-ÉTÉ 1998
Pour Versolato, la femme est une sorte de Diane chasseresse.
Une gageure que de définir le style de Versolato qui déshabille plus les femmes qu’il les habille...

Une collection poids-plume qui dévoile les atouts des top models...
Mais voilà, n’est pas Naomi Campbell ou Claudia Schiffer qui veut...
Ocimar Versolato n’en a cure... Pour lui, la femme est toujours une déesse, une sorte d’ondine sortant des eaux, aux formes toujours sculpturales.
 


Un tailleur, version Ocimar Versolato.
 

Versolato s’attend à un été chaud.
 

Robe du soir en soie rouge recouverte 
d’un voile de mousseline de soie noire.

 

Du noir pour le soir...
 

Un look qui cible sur une femme indépendante, vivant son époque et  choisit de suivre une mode adaptée à son corps de sportive bronzée avec des tenues étonnantes, des effets de bretelles croisées, dos décolleté jusqu’à la chute des reins, des robes fluides, des deux-pièces à porter à même la peau et qui tiennent par des miracles d’équilibre...
C’est certain, Versolato s’attend à un été tout ce qu’il y a de plus chaud.
Ses couleurs préférées, le noir encore et toujours, du rouge pour le soir...
Une mode qui fera le délice des yeux de ces messieurs, à condition de voir ces femmes intrépides sortir ainsi le jour, comme le soir...!


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