cet étrange oiseau de paradis. |
Pointillés et imprimés se combinent parfaitement. |
Une robe du soir pas tout à fait comme les autres... |
De l’opulence, une tenue signée Lacroix. |
S’il y a un adjectif qui pourrait qualifier Lacroix, c’est la somptuosité.
Une opulence telle, que certaines Américaines vont même
jusqu’à s’arracher quelques-unes de ses créations pour décorer
leurs vitrines...
Lacroix, pour ce défilé, a offert des créatures
transformées en oiseaux de paradis, avec des matériaux chatoyant
de couleurs qui ne passent pas inaperçues.
Une collection exotique, aussi, avec ses imprimés de fleurs,
ses châles avec lesquel, on se recouvre à l’occasion la tête,
gansés de pierreries, ses colliers, ses plumes agrémentant
les coiffures.
Lacroix a créé la femme... Une femme un peu lointaine,
mystérieuse, dévoilant ses épaules, se couvrant la
tête.
Le couturier a obtenu des effets saisissants avec des juxtapositions
de pointillés sur des imprimés, des bords en fourrure de
renard sur de la soie, sans oublier de repenser l’incontournable robe noire
qui, revue et corrigée par ses soins, a un tout autre effet.