Dans le 1er,
l’auteur traite de la pression exercée par les Mamelouks sur le
Kesrouan et, de ce fait, le déplacement du patriarche Youhanna Jagi
de Mayfouk à Qannoubine. Le 2ème, passe en revue les diverses
étapes parcourues par les cités jusqu’à la période
romaine. Dans le 3ème, il évoque l’essor arabo-islamique
à partir de Baalbeck jusqu’aux villes côtières, pour
illustrer la topographie humaine libanaise s’arrêtant à la
période abasside.
Dans les 5ème et 6ème, il met en évidence la situation
sociale et politique avant l’occupation des Croisés, sur le sujet
de laquelle il s’étend au cours des chapitres 7ème et 8ème
revenant au 9ème à la période des Mamelouks.
Dans les 11ème et 12ème chapitres, l’auteur indique qu’ils
marquent le début de l’entité politique libanaise et ses
antécédents, après la conquête ottomane et dans
le 13ème, il relate la disparition de l’émir Fakhreddine
au Kesrouan et dans le 14ème, l’avènement de Fakhreddine
II et l’entité politique libanaise d’alors et la naissance au cours
du 15ème chapitre du rêve d’une patrie et ce qu’il en est
advenu au chapitre 16 après Fakhreddine.
Au cours du 17ème, l’auteur entre dans la période de
l’émirat chéhabiste pour passer dans le suivant à
la formation des partis yazbaki et joumblatti.
Dans les chapitres 19 et 20, l’auteur traite des supputations concernant
l’appartenance religieuse de l’émir Youssef Chéhab.
M. Moufarrège consacre le 21ème chapitre à l’émir
Bachir et à Al Jazzar, détaillant dans le suivant les réalisations
et les erreurs et dans le 23ème la situation du Liban entre l’enclume
et le marteau du Caire et d’Istanbul, détaillant au cours du 24ème,
l’évolution politique et sociale du pays, pour finir avec la nécessaire
cohésion des intérêts de la population et les heurts
désastreux des grandes familles.
L’ouvrage de 250 pages, a été publié par la maison
d’édition “Biographie” - Jbeil.