LE PRÊT-À-PORTER ITALIEN AVEC ANTONIO BERARDI ET GATTINONI
LA MODE S’AMUSE...

La mode s’amuse et qui s’en plaindrait en cette fin de siècle plutôt morose? Après plusieurs saisons d’austérité chic et de minimalisme zéro défaut, il fallait bien que les créateurs trouvent un remède au syndrome de la névrose. Mission accomplie!

Et Berardi créa la femme...
 

Berardi semble avoir trouvé le remède
comme le syndrome de la névrose.
 

Naomi Campbell, bracelet aux chevilles.

Ni morosité ni minimalisme.
 

Perfection de la coupe.

Le mythe de Che  Guevara continue avec Gattinoni.
 
Avec les stylistes italiens, l’hiver qui s’avance leur a donné prétexte à toutes les audaces.
Le ton de ces collections et le foisonnement des mélanges permettent toutes les inventions, ceci sans oublier les multiples références historiques et artistiques.
Nous assistons à une explosion fantaisiste avec Antonio Berardi qui bouscule les clichés et nous donne à voir une collection à haut risque. Gattinoni, quant à lui, joue la nostalgie des grandes figures qui l’ont marqué et les appose sur des hauts à assortir sur des jupes longues ou des pantalons.
Des hauts le plus souvent pailletés, dont l’originalité réside non seulement sur la reproduction de ses idoles favoris, mais sur la perfection de la coupe qui fait que le corsage tient seul, sans  l’appui de bretelles. 
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