UNGARO...
UNE EVE NOUVELLE

Le défilé de la collection printemps-été 2000 d’Ungaro a remporté tous les suffrages. Le styliste, dont la réputation n’est plus à faire, a offert un spectacle de luxe avec des vahinés portant des bijoux tissés à même la peau. C’est au musée des Arts déco qu’a eu lieu le défilé.
 

Un papillon est venu 
se poser à la naissance d’un sein...
Tout simplement sublime!
 

Une cape courte entièrement rebrodée fait 
ressembler le mannequin à un papillon. Un 
haut à assortir avec une jupe nouée 
sur le côté façon sarong.

Le bijou de peau arboré ici dans le 
décolleté dorsal d’une robe de soie.
 
Le podium était dressé sous un baobab sous lequel ont défilé des mannequins portant des tenues ciselées, brodées de papillons ou de fleurs...
Ungaro a respecté la féminité... La femme est, désormais, libre de jouer avec la mode comme une petite fille qui joue à la dame, en mélangeant tout. Des vestes mauve, rouge, vert menthe accompagnent les sarongs de mousseline drapée sur
la hanche. Ungaro ne connaît pas de liaisons dangereuses
et offre à qui veut le mélange des genres, des couleurs.
 
Ungaro, avec sa nouvelle collection, a remporté tous les suffrages.

Il permet de porter un spencer de tweed sur une robe de dentelle, de faire d’un soutien-gorge en cristal multicolore, une blouse du soir. Plus de fonds sous la robe. La nudité s’installe.
Le jour et la nuit ne font plus qu’un...
Parmi les personnes présentes: Inès Sastre, Sophie Marceau, Fanny Ardant, Isabelle d’Ornano, Ariane Dandois...
Ungaro est resté dans le droit fil de ses racines
et le culte de l’élégance.


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