Dans un rayon de quelques centaines de mètres, toutes les possibilités
nous étaient offertes pour rendre notre séjour féerique,
compris le plaisir de découvrir les charmes des fameux “Thermes
Marins” de Monte-Carlo.
Retrouver sa forme, se débarrasser du stress, quoi de mieux
avec la thalasso, superbe bain de jouvence et ces différentes cures
de mise en forme du corps: esthétique, santé et bien-être?
Le programme de notre visite avait été élaboré
minutieusement par le Service de Presse de la SBM, pour une connaissance
plus approfondie du “forfait” offert au visiteur qui a élu Monte-Carlo
comme destination de vacances ou de détente, voire même un
voyage d’affaires. Mais commençons par le commencement...
Lundi, retrouvailles à l’AIB et départ pour le groupe
sur les ailes d’Air France. Le vol Beyrouth-Paris est reposant; les hôtesses
à bord sont élégantes et accueillantes. Carlo Kehdy,
représentant de la SBM dans dix territoires du Moyen-Orient et Marie-Joëlle
Khoury d’Air France nous accompagnent, en bons cicérones, dans ce
voyage. Le Paris-Nice sera aussi agréable. Mais c’est en hélicoptère
qu’on se rendra à Monte-Carlo avec “Héli Air Monaco”. Délicieuse,
cette sensation d’évasion et de bien-être durant les 10 mn
de la traversée dans cette “boule en verre”, au-dessus de la Riviera
jusqu’à l’entrée (majestueuse) à Monaco et l’arrivée
à l’héliport de la Principauté. Quel dépaysement!
C’est à l’hôtel Hermitage, le palace monégasque
le plus romantique, que nous résiderons. Un pur joyau Belle Epoque,
construit en 1900, situé square Beaumarchais, à proximité
du Casino. Avec son jardin d’hiver couronné par les splendides vitraux
de la magnifique coupole construite par Gustave Giffel et sa grandiose
salle “Belle Epoque” considérée comme la plus belle salle
de restaurant du monde, l’Hermitage est, aujourd’hui, un palace-musée
historique où tout n’est que calme, luxe et volupté.
L’hôtel “Hermitage”: un palace-musée romantique. |
Ma chambre (306) à l’Aile Midi, verte et blanche, et son romantique
balconnet en fer forgé dentelé, ont une vue ravissante sur
le port et le palais princier sur le Rocher. Une boîte de chocolats
de Monte-Carlo avec un gentil mot de Viviane Boulos Tolan me rappelle que
c’est grâce à elle que cette féerie - le “Monte-Carlo
Dream Trip” - avec la SBM est “vendu” au Liban par l’agence de voyage 360Þ
TravelScape! (agents généraux de la SBM au Liban).
Sur ma table de nuit Louis XV, je trouve, aussi, la “Carte d’or” personnelle
portant mon nom, exclusive aux résidents de la SBM. Véritable
passeport, elle fait de son titulaire un hôte privilégié
de Monte-Carlo et me permettra entre autres, une entrée gratuite
au Casino, comme au complexe aquafitness, à la piscine, aux sauna
et “hammam” des Thermes Marins, ainsi qu’aux Monte-Carlo Country et Golf
Clubs. Mais il faut vite se changer et se mettre sur son trente-et-un...
Et pour cause: rendez-vous à 19h30, place du Casino, au mythique
“Hôtel de Paris” de la SBM pour le cocktail de bienvenue suivi d’un
dîner.
Art de la relaxation aux Thermes Marins. |
Au “Vistamar”: au premier plan, Mireille Rebaudo-Martini (S.B.M.) et Marie-Joëlle Khoury (Air France). |
Nous faisons connaissance avec Mireille Rebaudo-Martini, la blonde,
charmante et dynamique directrice du Service de Presse de la SBM qui, toujours
sereine et souriante, nous donnera, tout au long de notre séjour,
une image superbe et “ensoleillée” de la Principauté et des
Bains de Mer. Elle me parlera de “La Revue du Liban”, qu’elle lit chaque
semaine à Monaco, de Michel Misk, d’Edouard Bassil qu’elle a connus
à Monte-Carlo et à Beyrouth. En sa compagnie, nous apprendrons
plus d’une légende dans le hall majestueux, doré et lambrissé
de l’“Hôtel de Paris”, le dernier grand palace de ce monde abritant
plus d’un siècle d’histoire, dominé par la statue de Louis
XIV sur son cheval équestre. “Caresser le genou du cheval de bronze,
toucher sa patte dorée vous portera bonheur au jeu et en amour...”,
nous dit Mireille. Nous la toucherons, nous la palperons au moins dix fois
durant notre séjour!
Crazy Horse: crazy!!! |
Nous nous attarderons au restaurant admirablement décoré,
“Le Louis XV”, où Alain Ducasse, seul chef au monde noté
6 étoiles au Guide Michelin, fait triompher l’art de la table et
une cuisine ultra raffinée d’influence italo-provençale.
Mais c’est au bar du “Grill” situé au dernier étage de l’Hôtel
de Paris; puis, au restaurant dominant le port et offrant une vue panoramique
sur la principauté, que nous dînerons avec le directeur Francis
Longuève, et Bernadette Saïd Yasso, journaliste libanaise résidant
à Monaco que j’ai plaisir à revoir.
Au menu, dans ce cadre bleu, “oxygénant” avec le toit ouvrant
et réchauffé par les tournebroches et rôtissoires tournant
devant les feux de bois: Risoltino aux truffes blanches d’Alba, légumes
d’automne au bouillon de poule, coquillages, crustacés, poissons
de petits bateaux, Saint-Pierre braisé aux vapeurs de fenouil (la
liste est longue!), le tout couronné par un soufflé “Tradition
du Grill” à la mandarine. Délicieux!
Mardi: royal petit déjeuner au salon Excelsior; puis, visite
des établissements SBM sous la houlette de Christiane Cane, l’attachée
de presse modèle. Avec elle, nous goûterons, une fois de plus,
au charme intimiste des décors de l’“Hermitage”, de ses longs couloirs
feutrés rehaussés d’opalines bleues conduisant aux Thermes
Marins et à l’Hôtel de Paris (l’accès souterrain est
direct et privé), à son atmosphère romanesque hors
du temps, couronnée par le Trophée Renaissance décerné
sous le parrainage d’un comité réunissant notamment la duchesse
de Bedford, Paloma Picasso, la baronne Edmond de Rothshild, Karl Lagerfeld...
Nous visiterons le légendaire “Hôtel de Paris” au luxe et
aux ors inouïs, havre privilégié des rois, des princes
et des grands de ce monde créé par l’homme du destin, François
Blanc le milliardaire, “le magicien de Monte-Carlo”. Nous nous attarderons
dans le faste de son architecture opulente, dans ses suites, ses appartements,
son lumineux restaurant “Côté Jardin”, sa fastueuse salle
Empire où Errol Flynn a réuni le Tout-Hollywood pour son
mariage en 1952.
Juste à côté, le célèbre Casino,
l’opéra adjacent et sa “Salle Garnier” à l’acoustique parfaite,
aux riches décorations rouge et or, inaugurée en 1879 par
Sarah Bernhardt. Intime, chaleureux, baroque avec ses douze œils-de-bœuf
surmontés de têtes allégoriques, l’Opéra de
Monte-Carlo dégage un charme fou, inaltérable.
Luxe et raffinement à l’Hôtel de Paris.
La visite se poursuit. Nous sommes aux célèbres Thermes
Marins de Monte-Carlo. Là, tout n’est que lumière, eau, nature,
douceur et culture. Ici, tout le monde est en décontracté,
en maillot ou en peignoir blanc autour d’une vaste et spectaculaire piscine
ludique, baignée de lumière, coiffée d’une monumentale
coquille “à la Boticelli”, ouvrant sur un solarium de choix, l’un
des plus beaux points de vue sur Monte-Carlo. Nous y apprendrons à
réconcilier corps et âme avec harmonie, nous retrouverons
quelqu’un que nous avions oublié: nous! Les Thermes Marins de Monte-Carlo
ont été tout entiers conçus dans ce but. Ici, chaque
séjour, même le plus court, s’avère un extraordinaire
voyage vers la plus belle des destinations: nous, en mieux.
Forme, santé, beauté, relaxation, un centre complet pour
une approche holistique où de nombreux programmes sont proposés:
Azur Tonic, Aide au sevrage tabagique, programmes Stress Control, Vein
Tonic, Objectif Ligne, “Stop Cellulite”...
Véritable écrin, en accès direct depuis les deux
hôtels de Paris et Hermitage, face au plus beau rocher d’Europe,
ce temple de bien-être, dans un décor somptueux de marbre
rose, de bois clairs et de verre limpide, offre sur 6600 m2 à
ses hôtes un confort du plus haut niveau et la technicité
des équipements les plus sophistiqués.
Au restaurant diététique des Thermes, “L’hirondelle”,
pourléchant la mer, nous déjeunons en compagnie de Gilles
Janin, le directeur, qui nous livrera une fois de plus les secrets du bien-être.
L’après-midi sera consacré à des soins aux Thermes.
Cap sur la forme et tonus en douceur avec un bain bouillonnant d’algues.
Dans une cabine privée, Laetitia me couvrira le corps d’algues sentant
l’iode marin; puis, m’emmaillotera comme un bébé dans une
douce et réconfortante chaleur. Quel plaisir! Euripide et Platon
avaient raison: la mer guérit tous les maux!
Le soir, dîner au célèbre “Café de Paris”
bordé de sa non moins fameuse terrasse, “La Lézardière”,
donnant sur les jardins à la française, les palmiers importés
de Bordighera et les magnifiques jets d’eau de la place du Casino. Le style
Belle Epoque de l’extérieur se prolonge dans le hall éclairé
par une verrière colorée. Les salles de jeux regroupent sur
plus de 1300 m2 quelque 400 machines automatiques, 10 à 12 tables
de black-jack, 4 à 6 tables de roulette et tables de craps. Mais
le Café de Paris, c’est aussi une brasserie typiquement 1900, un
drugstore, un coffee-shop.
En compagnie de Mireille Rebaudo-Martini, nous dînons dans la
salle de restaurant merveilleusement décorée de vitraux représentant
les signes du zodiaque et les quatre saisons, réalisés par
Charles Garnier à la fin du siècle dernier.
Puis, c’est la descente au purgatoire du plaisir, au... fascinant Cabaret
du Casino où nous assisterons à un spectacle très
glamour: le show du “Crazy Horse”. Douze jeunes beautés toutes blondes,
super maquillées, la plastique parfaite savamment dénudée,
dévoilent tout l’art de l’érotisme avec musiques et jeux
de lumière suggestifs. Du very, very hot!
Ce n’est pas fini! La nuit sera résolument blanche! A nous maintenant,
le fabuleux Casino, emblème de Monte-Carlo (il figure avec le palais
princier, sur tous les objets souvenirs de la principauté). C’est
une pure merveille avec ses dorures, tentures et plafonds lambrissés,
ses somptueux lustres en cristal, tableaux de peinture, salons de jeux,
bars, restaurants en enfilade et son magnifique “Atrium” dallé de
marbre, entouré de vingt-huit colonnes ioniques en onyx. Réalisé
selon les plans de Charles Garnier, architecte de l’Opéra de Paris,
il a été édifié en 1878 avec l’opéra
de Monte-Carlo en moins de six mois! La récente invention de l’électricité
a permis, à l’époque, aux six cents artistes et ouvriers
d’être à pied d’œuvre de nuit comme de jour.
Véritable musée de l’amour du jeu, témoin magnifiquement
restauré de l’architecture Belle Epoque, le Casino de Monte-Carlo
accueille chaque année des millions de visiteurs. De la salle Renaissance
au salon Europe illuminé par huit lustres monumentaux en cristal
de Bohème, pesant plus de 150 kg chacun, des salons privés,
Médecin et Touzet aux boiseries d’acajou finement ciselées
d’or, Roulette française, anglaise et américaine, Trente
et Quarante, Baccara, Black-jack, Craps, Punto Banco et Pai Gow Poker invitent
à tenter la chance. La salle blanche offre, quant à elle,
la jonction entre les XIXème et XXIème siècles en
abritant le cliquetis métallique des “machines à sous”.
Mercredi avant-midi: le tourisme est à l’honneur. Nous faisons
le tour de la Principauté en bus, sous la houlette de Jean-José
Bertani, de l’Office du tourisme monégasque. Monaco me rappelle,
étrangement, Jounieh avec sa baie splendide, son doux climat et
sa nature méditerranéenne. A La Condamine, nous nous arrêtons
à la pittoresque Place d’Armes rafraîchie par un romantique
bassin et colorée, chaque matin, par les étalages du marché
aux légumes et aux fleurs. Nous visitons la Vieille-Ville, ses “curiosités”,
ses endroits charmants avant d’écumer les boutiques de souvenirs
de la rue basse, l’une des trois vieilles et pittoresques ruelles dallées
menant à la Place du palais princier. Là, la vue est panoramique
de part et d’autre du Rocher; je ne manquerai pas aussi de photographier
la relève de la Garde des Carabiniers qui a lieu tous les jours
à 11h55 précises!
Le déjeuner aura lieu dans le cadre raffiné et rosé,
l’agréable décor pastel du restaurant “La Coupole” de l’hôtel
Mirabeau, fleuron de la SBM à l’architecture résolument contemporaine.
“Ce 4 étoiles qui allie aux qualités fonctionnelles d’un
bâtiment ultramoderne la classe d’un établissement de prestige,
bénéficie d’une exposition privilégiée; il
est nanti d’une piscine d’eau de mer chauffée et de 103 chambres
jouissant d’une vue imprenable sur la Méditerranée”, nous
dit Pascal Leprou, directeur de l’hôtel, un homme courtois, convivial,
exquis, le directeur d’hôtel par excellence. Au menu concocté
par Michel de Matteis, le chef de “La Coupole” (1 étoile au Guide
Michelin): amuse-bouche typiquement monégasque, les croustillants
“barbagiuan” (beignets au fromage, à l’ail et à la courge
mûre), ravioli de langoustines à l’estragon, carré
d’agneau au sautoir, minestrone de légumes, gnocchi au fromage,
douillon de banane au crémeux praliné accompagné d’une
glace à la noix muscade et de mignardises... Succulent!
Libre, l’après-midi sera consacré à une tournée
des boutiques aux alentours de notre hôtel, rien que de grands créateurs
et joailliers: Repossi et Horsten qui sont à l’“Hermitage”; Bulgari,
Chopard, Chaumet, Fred, Cartier, Piaget, Van Cleef & Arpels, Christian
Dior, Yves Saint-Laurent, Luis Vuitton... Aussi, aurons-nous le temps de
nous rendre au Musée océanographique, de faire le tour du
jardin japonais de la Princesse Grace et de sa maison de thé; de
visiter le Musée national où est exposée une collection
unique d’automates et de poupées anciennes des XVIIIème et
XIXème siècles dans un environnement de mobilier et d’objets
miniatures recréant l’atmosphère d’antan. Que de choses
à voir! Il faut, au moins, une bonne semaine pour faire le tour
de Monaco, où nous avons “trouvé” le temps d’aller danser
dans son fameux “Jimmy’z” donnant à travers des baies vitrées
sur un jardin japonais...
Le soir, dîner au “Vistamar”, l’aile qui abritait les amours
de Maria Callas et d’Aristote Onassis à l’“Hermitage”, aménagée
aujourd’hui en restaurant. Dans un décor marin à l’ambiance
décontractée nous donnant la sensation d’être sur le
pont d’un yacht luxueux, peut-être comme celui d’Onassis, Joël
Garault avait concocté pour nous un menu marin. Le dîner fut
joyeux en compagnie de Jean-Pierre Siri, directeur de l’hôtel Hermitage
et de Bruno Mercadal, directeur du marketing et des ventes. Ce fut la dernière
soirée à Monte-Carlo, puisque le lendemain on quittait par
Héli-Air Monaco pour Nice; puis, avec Air France pour Paris qui
me paraîtra morne et triste après le chic et la brillance
de Monte-Carlo.
Le luxe, le raffinement, le sens du service et du confort; enfin, l’attention
aux moindres détails dans cet environnement unique font de chaque
heure passée sous le ciel de Monaco avec la SBM une bulle de bonheur,
de plaisir, de détente et d’évasion. Ces vacances must n’en
sont-elles pas la preuve?
LE “MONTE-CARLO DREAM TRIP” DE “360° TRAVELSCAPE”
L’amour ne se fête pas qu’un jour. C’est une fête quotidienne. Alors, sachez prolonger la magie romantique de la Saint Valentin, fuir la routine du quotidien, en vous échappant le temps de quelques jours, dans l’un des palaces de Monte-Carlo. Des prix fantastiques vous sont proposés jusqu’au 31 mars, pour Pâques et pour les grandes célébrations de l’an 2000. “360° TravelScape”, les agents généraux de la Société des Bains de Mer au Liban, proposent un forfait, le “Monte-Carlo Dream Trip” à partir de 1000 dollars, faisant bénéficier les voyageurs individuels d’un tarif de groupe. Le prix inclut le transport par Héli Air ou en limousine jusqu’à Monaco, sept nuits d’hôtel avec petits déjeuners de roi (american breakfast), la Carte d’or et huit soins de thalasso. Un exceptionnel rapport qualité/ prix pour le forfait qui peut être adapté sur mesure selon les exigences de chacun: il peut être écourté (4 nuits minimum) ou prolongé ou encore combiné avec un séjour à Paris ou ailleurs en Europe. Les enfants de moins de douze ans qui accompagnent leurs parents, sont hébergés gratuitement. Pour plus de détails, contacter 360Þ Travelscape aux 04/711360 - 04/403937 et 03/323218. |