LE PRÉSIDENT BEN ALI DÉNONCE
LA CAMPAGNE
HOSTILE DE CERTAINS MÉDIAS
FRANÇAIS
Le président Zein El-Abidine Ben Ali a dénoncé, dernièrement, la campagne menée par certains médias français contre la Tunisie, “en reproduisant sciemment des nouvelles dont les propagateurs savent parfaitement qu’elles sont erronées”.
Le président tunisien Zein El-Abidine Ben Ali
prononce le discours marquant la célébration
de la “Journée nationale des associations”.
Dévoilant les desseins qui sous-tendent cette campagne, le chef
de l’Etat tunisien a accusé ceux qui en sont les acteurs d’être
mus par une volonté délibérée de déjà
passé “nuire à la Tunisie”, en “falsifiant les vérités”.
Il a déploré cette attitude “contraire à tous les
principes éthiques et professionnels” et procédant d’une
“mentalité d’une époque révolue depuis des décennies,
tant est évidente l’outrecuidance de ceux qui s’arrogent le droit
de se poser en donneurs de leçons”, a-t-il souligné.
“Nous considérons, a poursuivi le président Ben Ali,
que semblable attitude envers notre pays transgresse toutes les nobles
valeurs sur lesquelles s’appuie la liberté d’opinion et l’éthique
du dialogue. Une attitude qu’infirme la réalité vécue
et que réfute tout observateur impartial”.
Le président tunisien qui prononçait un discours lors
de la célébration de la “Journée nationale des associations”,
a fait remarquer que les auteurs de cette campagne “sont dépités
de voir ce pays, la Tunisie, se développer, réaliser sans
cesse plus de succès et d’acquis, jour après jour, être
maître de ses décisions et s’attacher à préserver
son libre arbitre et sa personnalité indépendante, à
servir ses propres intérêts et à les défendre”.
Le chef de l’Etat tunisien a, dans son discours, fait ressortir la
profonde mutation qu’a connue la vie associative en Tunisie, en harmonie
avec le processus de démocratisation, l’évolution de la qualité
de la vie et le progrès généralisé dans le
pays, notant que les élections municipales prévues pour le
28 mai prochain constitueront une occasion propice au renforcement de ce
processus dans toutes ses dimensions.
“Nous nous devons de bâtir notre personnalité conformément
à nos spécificités et à nos choix nationaux”,
a encore souligné le président Ben Ali.
RABAT EXCLUT UNE DÉVALUATION DU DIRHAM
Le ministre marocain de l’Economie et des Finances, M. Fathallah Oualalou,
a exclu une dévaluation de la monnaie nationale, le dirham, justifiant
cette position par le bon comportement des équilibres fondamentaux
du royaume.
S’exprimant dimanche dernier, dans le cadre de l’émission hebdomadaire
“Entretien”, de la chaîne de télévision “2M”, M. Oualalou
a expliqué que la valeur d’une monnaie dépend des rapports
commerciaux et financiers avec l’extérieur, ainsi que des équilibres
fondamentaux, estimant que ces derniers sont bons au Maroc et justifient
pleinement la décision des autorités monétaires de
ne pas dévaluer le dirham.
Il a rappelé que la valeur du dirham, calculée dans le
cadre d’un panier, dépend des différents ratios des monnaies
composant ce panier, de l’euro et du dollar et, dans une moindre mesure,
du yen et de la livre sterling.
“Nous n’avons pas bougé notre monnaie. Ce sont les rapports
entre le dollar et l’euro qui ont bougé en faveur du dollar”, a
dit le ministre marocain, ajoutant que le dirham s’est déprécié
par rapport au dollar, mais s’est apprécié par rapport à
l’euro.
Après avoir relevé une amélioration des exportations
du Maroc en dollars et une augmentation des recettes touristiques et des
transferts des Marocains résidant à l’étranger, M.
Oualalou a indiqué que quand on fait la balance, on peut conclure
que l’attitude et de la Banque du Maroc et du ministère de l’Economie
et des Finances est pleinement justifiée.
Concernant le projet de loi de finances pour la période allant
du 1er juillet au 31 décembre 2000 et qui vient d’être soumis
au parlement, le ministre a affirmé que ce projet table notamment
sur une croissance de 3% pour l’année en cours, un taux d’inflation
qui n’excéderait pas 2,5%, un déficit budgétaire de
3% et une réduction d’au moins 8,14% des charges de la dette.
MME LEÏLA BEN ALI REÇOIT LA CONSEILLÈRE DU PRÉSIDENT IRANIEN
Mme Leïla Ben Ali, épouse du chef de l’Etat tunisien, a
reçu jeudi dernier, Mme Zahra Choujaii, conseillère du président
de la république iranienne et présidente du centre de la
participation de la femme à Téhéran.
L’entrevue a permis d’évoquer un certain nombre de questions
ayant trait aux affaires de la femme et à l’action sociale dans
les deux pays frères.
La Première Tunisienne a exposé, par la même occasion,
l’expérience de la Tunisie dans ces domaines et l’action qu’elle
mène, personnellement, en matière de promotion de l’enfance,
en particulier l’enfance aux besoins spécifiques, dans le cadre
de l’intérêt qu’elle porte aux questions sociales et humanitaires.
Le président tunisien Zein El-Abidine Ben Ali
ADÉQUATION ENTRE AUTHENTICITÉ
ET MODERNITÉ
Par ailleurs, Mme Choujaii a eu des entretiens avec plusieurs responsables,
dont Mme Naziha Zarrouk, ministre des Affaires de la femme et de la famille,
qui a fait à l’intention de l’invitée iranienne, un exposé
sur les spécificités de la politique tunisienne dans le domaine
de la promotion de la femme, politique, a-t-elle souligné, qui se
caractérise par l’harmonie entre les valeurs arabes et islamiques
et les principes auxquels la Tunisie et la femme tunisienne ont adhéré.
La responsable iranienne a salué les résultats positifs
engendrés par cette politique à la faveur de la volonté
du président Zein El-Abidine Ben Ali, exprimant le souhait de tirer
profit de cette expérience qui concilie entre l’identité
et la modernité.
Mme Choujaii a, également, eu des entretiens avec Mme Chadlia
Boukhchina, deuxième vice-président de la Chambre des députés
et Mme Faïza Kéfi, ministre de l’Environnement et de l’Aménagement
du territoire, avec lesquelles elle a examiné les moyens de renforcer
la coopération bilatérale dans divers domaines.
Lors d’un entretien avec le ministre des Affaires religieuses, M. Jelloul
Jéribi a fait ressortir le caractère privilégié
des relations unissant les peuples tunisien et iranien et l’évolution
remarquable que connaît la coopération bilatérale,
sous l’impulsion des dirigeants des deux pays. Il a mis l’accent sur les
caractéristiques du projet de société initié
par la Tunisie du Changement, qui s’emploie à rester à jamais
le pays du savoir, de la pensée éclairée, de l’authenticité,
de l’Ijtihad, de la tolérance et de la modération.
Après avoir fait part de son admiration pour les succès
que la Tunisie ne cesse de réaliser dans les divers domaines et
pour la place importante qu’occupe la femme tunisienne dans la société,
Mme Choujaii a, de son côté, réaffirmé la volonté
de son pays de renforcer la coopération avec la Tunisie.
MAURITANIE
CLIN D’ŒIL POUR LES INVESTISSEURS CHINOIS
La Mauritanie a invité les entreprises chinoises à investir
dans ce pays, en les assurant de leur accorder des mesures préférentielles
et de leur créer un bon environnement d’investissement, a indiqué
un haut responsable mauritanien.
M. Ahmad Ould Hamady, ministre mauritanien du Commerce, de l’Artisanat
et du Tourisme, s’adressait la semaine dernière, aux participants
à un séminaire économique et commercial sino-mauritanien,
qui s’est tenu à la foire d’exportation des articles chinois de
Guangzhou, capitale de la province méridionale du Guangdong.
“Les deux pays entretiennent une coopération fructueuse dans
les domaines agricole, hydraulique et énergétique, depuis
l’établissement de leurs relations diplomatiques il y a trente-cinq
ans”, a indiqué M. Hamady. A ce jour, a-t-il ajouté, trente-deux
accords ont été signés portant sur la coopération
économique et technique, pour un montant de 900 millions de yuans
et la Chine est devenue un des plus importants partenaires commerciaux
de la Mauritanie”.
Les entreprises chinoises sont encouragées à investir
dans les secteurs de l’industrie, de l’agriculture, de la pêche et
des assurances”, a-t-il précisé.
La Mauritanie a besoin d’une grande quantité de produits agricoles,
d’instruments aratoires et de machines, alors que la Chine dispose de techniques
avancées et d’expériences dans ces domaines, de sorte que
les deux pays présentent une grande complémentarité
dans leur coopération”, a-t-il fait valoir.
L’HOMME FORT DU PAKISTAN REÇU PAR KADHAFI
’homme fort du Pakistan, le général Pervez Musharraf,
a effectué récemment une visite en Libye, au cours de laquelle
il a évoqué avec le N°1 libyen Mouammar Kadhafi la situation
en Asie du sud-est et les relations bilatérales, a indiqué
l’agence officielle libyenne JANA.
Les deux dirigeants ont également examiné des questions
d’intérêt commun et les moyens de renforcer la coopération
entre la Libye et le Pakistan, a ajouté l’agence. Le général
Musharraf a souligné, au cours de l’entretien, qui a eu lieu à
Syrte (500 km à l’est de Tripoli), “les sentiments d’amitié
qu’éprouve le peuple du Pakistan pour les Libyens et leurs dirigeants”,
selon JANA. Avant de se rendre en Libye, le dirigeant pakistanais avait
séjourné au Caire où il avait rencontré à
deux reprises le président égyptien Hosni Moubarak.
LE PRÉSIDENT ZEIN EL-ABIDINE
BEN ALI:
LE FACTEUR HUMAIN, LA VRAIE
RICHESSE DE LA TUNISIE
“Le facteur humain représente la vraie richesse de la Tunisie et le bien-être de l’homme constitue l’objectif ultime de tous nos projets et programmes”.
Le président Zein El-Abidine Ben Ali recevant
l’écusson de l’Organisation arabe du travail
des mains du directeur général de l’OAT.
C’est en ces termes que le président Zein El-Abidine Ben Ali
s’est adressé à la classe laborieuse, dans un discours prononcé
à l’occasion de la célébration de la fête du
travail.
La cérémonie qui s’est déroulée à
cette occasion, a été marquée par la remise au chef
de l’Etat tunisien de l’écusson de l’Organisation arabe du travail
(OAT), en hommage à l’intérêt soutenu qu’il porte au
développement des ressources humaines et à la politique qu’il
a initiée en faveur de la promotion des travailleurs aux plans technique
et professionnel afin qu’ils accèdent aux meilleurs niveaux de qualification.
LE DIRECTEUR GÉNÉRAL DE L’OAT:
L’EXPÉRIENCE TUNISIENNE, UN EXEMPLE À SUIVRE
Dans une allocution, le directeur général de l’OAT, M.
Brahim Gouider, a rendu un vibrant hommage au président Ben Ali,
saluant en lui “un homme d’Etat authentique et un des leaders de la nation
arabe”. Il s’est félicité de l’intérêt constant
porté par le chef de l’Etat tunisien à la protection de la
liberté de l’action syndicale ainsi qu’à la promotion des
relations professionnelles, compte tenu du fait que le travail constitue
une valeur “civilisationnelle” mais, aussi, un moyen efficient pour gagner
les enjeux du progrès et de la consolidation de la cohésion
sociale.
M. Gouider a relevé que grâce au souci du président
tunisien de consacrer le dialogue social, l’expérience tunisienne
en matière de négociations sociales représente une
expérience pilote et un exemple à suivre dans le monde arabe
et dans les pays en développement, en général.
De son côté, le secrétaire général
de la Centrale syndicale tunisienne, UGTT, M. Ismaïl Sahbani, s’est
félicité de l’intérêt permanent que le président
Ben Ali accorde à la condition des travailleurs et du soutien qu’il
apporte à l’entreprise économique, déclarant à
l’adresse du chef de l’Etat tunisien qu’il s’agit là d’un “choix
fondamentalement présent dans vos orientations et procédant
de votre foi profonde en la corrélation étroite entre les
dimensions économique et sociale du développement”.
Au cours de cette cérémonie, le président Ben
Ali a décoré un certain nombre de responsables syndicalistes
de la médaille d’or du travail, en considération des éminents
services qu’ils ont rendus dans leur domaine. Il a également procédé
à la remise du prix du travailleur exemplaire pour l’année
1999 à seize travailleurs qui se sont distingués par leur
dévouement à leur travail et leur souci d’accroître
la production et d’améliorer la productivité. Par ailleurs,
six entreprises se sont vu décerner le prix du progrès social
pour 1999, en consécration de leurs efforts assidus au plan du développement
des moyens de production, d’amélioration des conditions de travail,
de promotion du niveau professionnel des travailleurs et de leurs aptitudes.
Dans son discours, le président Ben Ali a salué le rôle
des organisations nationales dans le renforcement du climat de concorde
et de stabilité, l’instauration des conditions propices à
l’emploi à la production et la consolidation de l’effort de développement,
au service de l’économie nationale.
Le chef de l’Etat tunisien décorant
des lauréats des prix du travailleur
exemplaire et du progrès social.
GARANTIR LA DIGNITÉ DE L’HOMME ET FAVORISER
SON ÉPANOUISSEMENT
Après avoir mis l’accent sur la stratégie adoptée
dans ce domaine et qui se fonde sur l’association étroite entre
les dimensions économique et sociale du développement et
combine les règles de rentabilité et d’efficience avec les
valeurs de consensus, de dialogue, de solidarité et d’entraide,
le président Ben Ali a souligné que “l’œuvre de développement
constitue le fondement même du progrès de l’homme et de la
garantie de sa dignité et de son épanouissement”.
“Notre pays a réussi à réaliser des résultats
tangibles dans les différents secteurs du développement,
grâce à la place privilégiée que nous avons
accordée aux ressources humaines”, a relevé le chef de l’Etat
tunisien, notant que le taux de croissance a atteint pendant la période
1987/1999 près de 5%, tandis que le taux d’inflation était
ramené à 2,7% en 1999, contre 8,1% en 1987, alors que le
taux de pauvreté est tombé à 6%.
“Ces résultats, dans leurs aspects économiques et sociaux,
ont hissé notre pays à une position appréciable dans
son environnement et se sont répercutés sur bon nombre de
nos entreprises qui ont réussi, ainsi, à franchir les frontières
nationales, grâce à la valeur de leurs produits et à
la qualité de leurs services”, a ajouté le président
Ben Ali.
LE POÈTE PALESTINIEN MAHMOUD
DARWICH
DÉCORÉ PAR LE
PRÉSIDENT BEN ALI
Le président tunisien Zein El-Abidine Ben Ali
décorant le grand poète palestinien,
Mahmoud Darwich.
Le président Zein El-Abidine Ben Ali a décoré le
grand poète palestinien, Mahmoud Darwich des insignes de grand officier
de l’Ordre du mérite culturel tunisien, en signe de considération
pour l’excellente qualité de son apport à la poésie
arabe.
Le chef de l’Etat tunisien a, à cette occasion, rendu hommage
au poète palestinien, pour son œuvre qui se distingue par son originalité
dans le monde arabe. Il a salué, aussi, le patriotisme et le souffle
créateur de ce grand poète, soulignant les liens solides
qui l’unissent au peuple tunisien et l’exhortant à enrichir davantage
la poésie arabe par d’autres chefs-d’œuvre.
A l’issue de l’audience, Mahmoud Darwich a fait la déclaration
suivante: “Le président Zein El-Abidine Ben Ali m’a agréablement
surpris en me décernant cette haute distinction, suscitant en moi
une forte émotion qui ne m’empêche pas, cependant, d’exprimer
toute l’affection que je lui voue ainsi qu’au peuple tunisien, toutes catégories
confondues”.
“Je suis très heureux et profondément reconnaissant pour
cet honneur qui m’échoit et témoigne de la qualité
des relations tissées entre les peuples tunisien et palestinien.
Notre peuple considère, en effet, la Tunisie comme étant
l’une de ses références affectives”.
“Je me sens, dès lors, investi d’une grande responsabilité
et ressens une profonde gratitude envers le président et le peuple
tunisiens, dans toutes ses composantes, que ce soit les enseignants, les
étudiants ou les travailleurs, qui m’ont comblé, tout au
long de mon séjour, de leur affection, ce qui est de nature à
raffermir davantage mes attaches affectives et morales à la Tunisie,
ma seconde patrie”.
MAURITANIE
FINANCEMENT DE LOGEMENTS PAR LA BANQUE MONDIALE
Les relations entre l’Algérie et la Banque mondiale dans le secteur
de l’habitat ont été au centre d’une entrevue entre le ministre
algérien de l’Habitat, M. Abdelkader Bounekraf et M. Schengman Zhang,
directeur général de cette institution financière
internationale. Les deux parties ont relevé, selon l’APS, “la bonne
exécution des projets” mis en œuvre. Evoquant le prêt en cours
d’exécution destiné à la résorption de l’habitat
précaire (RHP), il a été constaté, de part
et d’autre, sur le terrain, que le projet a réalisé des progrès
encourageants en dépit de sa complexité, de la multiplicité
et de la diversité des intervenants. Cependant, il a été
convenu que des efforts devront être envisagés pour assouplir
les procédures à même d’améliorer la faisabilité
du projet et de le faire passer à un rythme d’exécution plus
important, précise la même source.
A la fin de l’entretien, les deux parties se sont félicitées
de la bonne qualité de leurs relations et ont exprimé leur
volonté de renforcer leur coopération dans le domaine de
l’Habitat.
TRIPOLI RAPPELLE SON REPRÉSENTANT À DOHA
Tripoli a décidé de rappeler son ambassadeur à
Doha, à la suite d’une émission télévisée
critiquant le régime libyen, a rapporté le quotidien qatariote
“Al Raya”.
Selon le journal cité par l’agence France Presse, M. Mabrouk
Al-Madani, chef du bureau de fraternité libyen (ambassadeur), devait
regagner Tripoli, la semaine dernière, pour consultations, malgré
les efforts de Qatar de faire revenir la Libye sur sa décision.
Le quotidien affirme que la décision libyenne est intervenue
à la suite d’une émission de la télévision
satellitaire qatariote “Al Jazira” consacrée aux récents
changements ministériels en Libye. Des participants à l’émission
avaient critiqué le régime libyen et notamment le système
des comités populaires.
Les autorités koweitiennes avaient interdit “Al Jazira” pendant
un mois en juin dernier, après qu’un Irakien eut insulté
l’émir du Koweit lors d’une émission en direct.
Pour sa part, la Jordanie avait fermé en 1999, pendant quatre
mois, le bureau de la chaîne à Amman, après que cette
télévision eut diffusé des critiques contre le royaume
hachémite.
OCI: ALGER SOUTIENT UNE NOUVELLE CANDIDATURE MAROCAINE
D’autre part, une source proche de la présidence de la république
algérienne, citée par l’APS, indique que l’Algérie
soutiendra la candidature de M. Abdewahed Belkéziz (Maroc), au poste
de secrétaire général de l’Organisation de la conférence
islamique (OCI), en remplacement de son compatriote, Azzedine Laraki.
L’Algérie s’étant déjà engagée par
le passé avec le Maroc à soutenir sa candidature, ne fait
qu’honorer un engagement pris antérieurement, ajoute la même
source.