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Aquarium sans
poissons !
Que diriez-vous d’un aquarium sans l’encombrement
du nettoyage ? Plus besoin de surveiller les poissons pour éviter
qu’ils ne s’entre-tuent, encore moins les nourrir régulièrement,
sans parler de nettoyer l’aquarium rempli de leurs défécations ;
toutes ces corvées sont finies. Joie ! Voici l’aquarium virtuel
de NEC. En somme le décor sans l’embarras… et indéniablement
sans vie !
Windows bug !
Moins de deux mois après la sortie de Windows
98, c’est l’heure des bilans et les utilisateurs ne sont pas dociles. Leurs
réclamations sont somme toute simples : ils exigent d’un système
d’exploitation digne de ce nom de fonctionner correctement au mieux et
de ne pas entraîner des dysfonctionnements matériels au pire…
“Je pensais que la raison du retard de Windows 98 était destinée
à éviter les bugs. Pourquoi alors mon Windows a-t-il ‘planté’
trois fois durant l’installation ?”, regrette un usager. De nombreuses
plaintes ont été relevées concernant des défauts
techniques ; mais la seule faille que Microsoft aie admise comme étant
une erreur de programmation concerne le gestionnaire de date. Lorsque Windows
98 est redémarré entre 23:59 et 00:00, il saute deux jours
en avant ou remonte d’un jour en arrière. Ce problème se
manifeste uniquement le 31 décembre de chaque année. Des
corrections sont déjà disponibles sur le Web de Microsoft.
La moindre des choses lorsqu’on est leader et que l’on dispose d’une “avance”
considérable c’est de garantir un environnement fiable. Nous vous
en parlions dans la précédente édition de “Cyber Route”,
concernant le véritable type de produit qu’est Windows 98 ;
une nouveauté ou une mise à jour ? A travers ses “multimedia
upgrades” qui sont des euphémismes techniques pour une correction
de bugs, l’autre Bill (Gates) se sort aussi bien des tourments que
le Bill siégeant à Washington. De deux maux, certains utilisateurs
ont préféré choisir le moindre et garder leur ancien
Windows 95.
Photoshop5
L’emploi de Photoshop n’est pas seulement agréable
; il est essentiel à toute une industrie dont les médias
et le monde publicitaire sont les premiers demandeurs. Cette nouvelle mouture
apporte la pléthore de fonctions réclamées par les
utilisateurs de la version 4, dont l’interface emprunte ici l’essentiel. Parmi
ces innovations : les annulations à niveaux multiples ;
mieux qu’un banal undo (qui annule la dernière fonction),
ce nouveau système permet de choisir la commande à effacer,
ainsi on peut mieux traiter une image avec les différents effets
attribués et la modifier à volonté. Une meilleure
gestion de la séparation de couleurs, le texte qui demeure éditable,
même après de nombreuses manipulations ; de nouveaux
filtres font également leur apparition soit un total de 95. Un machine
solide s’avère indispensable avec 64Mo pour un minimum de confort.
Son prix ($995), n’est pas excessif, puisqu’on s’offre la crème
de la retouche photo. A noter que la mise à jour depuis Photoshop
4 est proposée à $249. Disponible pour Mac et PC.
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